Développements dans l’affaire des hommes de sécurité d’Erdogan Recep Tayyip Erdoganqui avaient battu des manifestants sur USA. Les juges a rejeté l’appel de la Turquie.
Le site Cour suprême des États-Unis a rejeté lundi (31/10) la demande de la Turquie de rejeter deux recours déposés par des manifestants qui demandaient une indemnisation après avoir accusé les forces de sécurité turques de les avoir blessés lors d’une manifestation organisée en 2017 à Washington, qui coïncidait avec une visite du président Tayyip Erdogan.
Les juges a rejeté l’appel de la Turquie à la décision d’une juridiction inférieure autorisant la poursuite de la procédure, en rejetant les argument de l’allié de l’OTAN qu’il a immunité contre de telles actions en justice aux États-Unis en vertu d’une loi fédérale (Loi sur les immunités souveraines étrangères).
La procédure porte sur une échauffourée impliquant des membres de l’équipe de la Commission européenne. La sécurité d’Erdogan qui s’est produite alors que des manifestants se rassemblaient devant la résidence de l’ambassadeur de Turquie à Washington, le 6 mai 2017. Erdogan était dans la capitale américaine pour rencontrer le président de l’époque. Le président Donald Trump. L’incident a accru la tension dans les relations entre la Turquie et les États-Unis.
Les poursuites contre la Turquie
Deux actions en justice ont été déposées en 2018 — l’une par 15 plaignants et l’autre par cinq — visant à… de tenir le gouvernement turc pour responsable et exigeant de l’argent dommages et intérêts pour les blessures, notamment commotions cérébrales, épilepsie et dents cassées. Les plaignants demandaient des dommages et intérêts de plusieurs dizaines de millions de dollars, selon les documents judiciaires.
La loi sur l’immunité des souverains étrangers limite la compétence des tribunaux américains au poursuites contre des gouvernements étrangers.
La Turquie a imputé l’attaque à des manifestants liés au Parti des travailleurs du Kurdistan. Le chef de la police de la capitale américaine a qualifié l’incident d' »attaque sauvage » contre des manifestants pacifiques.
Des accusations d’agression ont été déposées à Washington contre plusieurs agents de sécurité turcs et les autres personnes concernées. Deux des accusés – qui n’étaient pas membres de l’équipe de sécurité d’Erdogan – ont dit que coupable. Les procureurs ont abandonné les poursuites contre 11 agents en 2018.
Le gouvernement de Président Joe Biden avait exhorté la Cour suprême à ne pas accepter le recours de la Turquie, en déclarant que lorsque le personnel de sécurité d’un pays étranger déploie la force d’une manière qui n’est pas liée à la protection des fonctionnaires contre les dommages physiques elle agit en dehors de la protection légale qui lui est accordée.
Les tribunaux inférieurs ont rejeté la demande de la Turquie. La Cour d’appel des États-Unis à Columbia a statué en 2021 que si les membres du détachement de sécurité turc avaient le droit de… protéger Erdoganleurs actions dans cet incident ne sont pas admissibles à cette exception.
Η Turquie avait fait valoir qu’un échec de la Cour suprême d’annuler la décision menacerait de perturber les relations étrangères des États-Unis et « inviterait à des représailles contre l’immunité des agents de sécurité américains qui protègent les présidents, les diplomates et les fonctionnaires de l’administration américaine ». [αμερικανικές] missions à l’étranger ».
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