Rendre le S.S. « Rendre le S.S. à la Russie Turquie pour le S-400 est envoyé par le Département d’Etat, l’exhortant une fois de plus à abandonner ce système russe.
La déclaration du département d’État fait suite à celle du ministre turc de la défense, Hulusi Akarqui a affirmé qu’Ankara peut et va utiliser le système russe S-400.
Répondant à une question des correspondants grecs, un porte-parole du département d’État a clairement indiqué que toute nouvelle transaction avec l’industrie de la défense russe présente le risque de sanctions CAATSA supplémentaires.
Comme il l’a dit, « notre position sur le système S-400 n’a pas changé : Les S-400 russes sont incompatibles avec les équipements de l’OTAN, menacent la sécurité des technologies de l’OTAN et sont incompatibles avec les engagements de la Turquie en tant qu’alliée de l’OTAN. Cette importante transaction (achat) par la Russie a déclenché des sanctions CAATSA en vertu du droit américain. Nous demandons instamment à la Turquie de ne pas conserver ce système. »
« La Turquie est un allié important de l’OTAN. Cependant, l’acquisition du S-400 contredit directement les engagements pris par tous les Alliés lors du sommet de l’OTAN de 2016 à Varsovie de réduire la dépendance à l’égard des équipements russes.
Nous demandons instamment à la Turquie, ainsi qu’à tous les partenaires et alliés des États-Unis, d’éviter tout achat futur d’armes russes, notamment de S-400 supplémentaires, qui offrent à la Russie des revenus, un accès et une influence. Toute transaction de ce type pourrait faire l’objet de sanctions au titre de la CAATSA, séparément et en plus de celles déjà imposées », a-t-il conclu.
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