La superstar des Bucks était présente au Media Day du « Daim » avant la nouvelle saison et a parlé de sa présence dans le « favori officiel », des difficultés qu’il a rencontrées par rapport à la NBA et de la saison à venir.
« Vous avez un peu chaud, vous jouez beaucoup de basket. Vous avez besoin d’une pause, non seulement physiquement, mais aussi mentalement. Vous voulez passer du temps en dehors du terrain, être avec votre famille, faire les choses que vous aimez, manger des Doritos. Vous en avez besoin pour passer une bonne année », a-t-il déclaré au début.
Il a poursuivi : « Mais c’était une expérience incroyable de représenter mon pays. J’ai apprécié. C’est la première fois qu’autant de personnes ont répondu. Les gens avaient de l’espoir. Le basket-ball est revenu en Grèce. Nous avions le soutien du peuple. Même si nous étions à un match de la médaille. Ils ont applaudi pour nous et le drapeau. Des millions de personnes ont regardé les matchs et c’est très bien. Je suis un peu fatigué physiquement et mentalement, mais je suis excité pour la nouvelle année. »
Quant aux différences de jeu entre la NBA et l’Europe, il répond : « En Europe, c’est beaucoup plus dur qu’en NBA. Sans vouloir vous manquer de respect, il est évident que le talent est beaucoup plus grand en NBA, mais les espaces dont vous disposez sont plus réduits et l’intensité est élevée. Ils vous poussent sur tout le terrain, ils vous font jouer en double équipe, en homme à homme… C’est plus physique. Je ne sais pas si c’est parce que le talent est moindre et qu’il faut plus d’intensité, mais c’est plus difficile. Lorsque je joue en Europe avec ce genre d’intensité et dans de plus petits espaces, cela m’aide à mieux comprendre le jeu. Maintenant, chaque fois que je vais à un match de NBA, j’ai l’impression qu’il y a plus d’espace pour moi et pour créer pour mes coéquipiers. »
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