Une baisse de la vigilance immédiatement après le réveil le matin et tout au long de la journée peut avoir un effet négatif sur les performances cognitives et motrices et accroître les risques pour la sécurité.
Une étude récente a révélé que certains facteurs modifiables liés au mode de vie, tels que la qualité et la durée du sommeil, peuvent avoir un impact plus important sur les niveaux de vigilance matinale que les facteurs génétiques.
Les résultats suggèrent que des interventions au niveau individuel et sociétal ciblant ces facteurs non génétiques pourraient contribuer à atténuer les effets associés à une vigilance réduite.
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