Insiste sur le fait que le Turquie en contestant la souveraineté de la Grèce sur les îles de la mer Égée. Dans une nouvelle lettre turque adressée aux Nations unies, Ankara insiste pour lier la souveraineté grecque sur les îles de la mer Égée à l’obligation de démilitarisation.
Elle affirme que les îles ont été cédées à la Grèce avec une souveraineté réduite et considère que les traités internationaux, notamment le traité de Paris auquel la Turquie n’est pas partie, lui donnent le droit de contester le titre de la Grèce sur les îles et les zones maritimes.
La nouvelle lettre turque à l’ONU
Comme l’a rapporté ERT, la lettre est datée du 17 septembre et comporte cinq pages. Cette lettre est une réponse à la lettre grecque sur la question de la démilitarisation des îles.
Il comprend, selon l’ERT, les arguments juridiques auxquels la Grèce a répondu de manière détaillée et exhaustive dans sa dernière lettre.
Allant au-delà de ses menaces, la Turquie dit :
- que les îles ont été cédées à la Grèce avec une souveraineté réduite
- le Traité de Paris donne à Ankara le droit de contester le titre de la Grèce sur les îles et les zones maritimes.
C’est la première fois que la Turquie tient de tels propos dans le but de « scier » les droits sur les zones maritimes.
La Turquie prétend que le non-respect de la démilitarisation constitue une menace pour la paix internationale et appelle hypocritement la Grèce au dialogue.
Il est à noter que dans son discours à l’ONU, Erdogan n’a pas mentionné la question de la souveraineté. Cependant, la dernière lettre turque indique qu’il s’agit d’un point clé de la politique d’Ankara visant à contester la souveraineté de la Grèce sur les îles et c’est dans ce contexte que les déclarations des responsables turcs de ces derniers jours semblent s’inscrire. Ceux qui parlent de « prendre des mesures face aux menaces venant de la Grèce ».
Que répondent les sources diplomatiques
La Turquie avec le nouvelle lettre envoyée au Secrétaire général de l’ONUpour la énième fois, tente de déforment complètement la réalitéainsi que tout concept de droit international, afin de promouvoir ses positions non fondées, selon des sources diplomatiques.
Ils déclarent également que la partie grecque utilise le système d’échange de quotas d’émission. rejette dans son intégralité et se réserve le droit de répondre aux arguments inacceptables, totalement infondés et sans fondement de la partie turque.comme et quand il le juge approprié.
- TURQUIE
- ONU
- LETTRE
- AEGEAN
- ISLANDS
- RÉPUBLIQUE
- LES DÉFIS TURCS
Articles similaires
- « Bien sûr que nous allons envahir les îles grecques » – Les dialogues incendiaires sur CNN Turk
- Kalin prévient : Si vous continuez à armer les îles, il y aura des conséquences
- Projet de la Commission sur la Turquie : Appels à la désescalade et au respect du droit international
- Chris Pope : Maintenir l’amendement sur les F-16 en Turquie – Nouvelle lettre
- Cavusoglu s’en prend aux États-Unis : regardez les violations commises par la Grèce et maintenez l’équilibre.