Selon une nouvelle étude, le fait de vivre ensemble, de se sentir membre d’un groupe et de ne pas se sentir seul est associé au ralentissement du déclin cognitif.
Il est largement reconnu que le manque de contacts sociaux, les interactions peu fréquentes et la solitude sont des facteurs de risque modifiables du déclin cognitif.
La commission Lancet sur la prévention de la démence estime que la lutte contre l’isolement social pourrait prévenir 4 % des cas de démence dans le monde.
Plus d’informations sur Onmed.gr
Articles similaires
- Suffisance en vitamine D : dans quelle mesure elle réduit le risque de démence
- Hypertension artérielle : dans quelle mesure elle augmente le risque de démence
- Un médicament antidiabétique réduit le risque de démence – pour quelles maladies a-t-il été mis en cause ?
- Neurologie : les aliments qui renforcent le cerveau
- Bariatrique : Dans quelle mesure il réduit le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral.