Le président russe Vladimir Poutine semble vouloir lancer un nouveau défi à l’Occident et élever encore le niveau de la confrontation nucléaire avec ce dernier.
Comme le révèle le journal italien La Repubblica, l’alarme est cette fois provoquée par un rapport de renseignement de l’OTAN envoyé au plus important quartier général militaire de l’Alliance de l’Atlantique Nord.
L' »arme de divulgation » de Poutine :
{https://youtu.be/236ZxZ0TX6I}
Le rapport fait référence aux mouvements du sous-marin nucléaire russe Belgorod, qui est entré en service en juillet.
Il se trouve maintenant dans la mer Arctique et on craint que sa mission soit de tester pour la première fois la super torpille « Neptune », décrite comme « l’arme de l’Apocalypse ».
La super arme de Neptune de Poutine.
Il s’agit d’un drone sous-marin, présenté par le Kremlin en 2018 comme l’un des systèmes qui permettra la supériorité stratégique de la Russie.
On dit qu’il est conçu pour « noyer » les villes côtières sous les radiations. On dit aussi qu’il est capable de parcourir de grandes distances sous l’eau avant d’exploser avec assez de force pour causer… un tsunami radioactif de 500 mètres de haut.
Neptune était l’une des quatre armes de nouvelle génération annoncées par Poutine en 2018.
Selon les médias russes, il est capable de se déplacer sous l’eau sur 6 000 miles avant de pouvoir faire exploser une tête nucléaire de 2 mégatonnes. (plus de 130 fois la taille de la bombe larguée sur Hiroshima) qu’il porte sur son nez.
Nous rappelons qu’en mars, le président russe Vladimir Poutine a ordonné à son commandement militaire de mettre les forces de dissuasion russes en état d’alerte – une référence aux unités qui comprennent des armes nucléaires – citant les déclarations agressives des dirigeants des États membres de l’OTAN et les sanctions économiques contre Moscou.
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